Comment gérer en douceur le processus de mise en œuvre des codes 2D et tirer le meilleur parti de l’opportunité qu’ils représentent ? C’est ce qu’explique Domino dans un petit guide très facile d’accès.

C’est une évidence à laquelle les professionnels de l’agro-alimentaire n’auront pas échappé : les codes 2D ont déjà commencé à remplacer les traditionnels codes rayés noirs et blancs sur les étiquettes des produits. Bien que ce passage au code 2D ne soit pas obligatoire, l’organisation mondiale de normalisation GS1 collabore avec les fabricants et les détaillants pour encourager l’adoption de ces codes 2D dans les systèmes de point de vente et a développé pour cela les QR codes augmentés GS1. Pour aider les marques à passer dans le nouveau monde du code 2D, Domino, exposant à Djazagro, vient de publier un petit guide destiné à aider les professionnels à migrer vers la nouvelle norme.

Les avantages du code 2D

« Si vous êtes une marque et que vous souhaitez garder une longueur d’avance, il est temps de commencer à réfléchir à la manière dont vous allez gérer la migration mondiale vers les codes 2D » prévient ainsi Domino, qui liste les avantages de cette nouvelle norme :

• Un espace réduit,
• Une meilleure résistance aux dommages et à l’usure,
• Et surtout un plus grand nombre d’informations embarquées (code international GTIN, localisateur de ressources uniforme, données relatives aux lots ou dates de péremption, numéro de série..).

« Les QR codes augmentés GS1 offrent ainsi de multiples avantages aux marques et aux consommateurs au moyen d’un code unique, en fournissant des capacités de partage de données dans tous les domaines, de l’expédition à la logistique, au service après-vente en passant par le marketing consommateurs et la gestion de la fin de vie des produits » résume ainsi Domino, avant de décrire les différents éléments de données que les marques peuvent utiliser et discuter des avantages de l’ajout de données variables, uniques ou au niveau du lot.

Comment se lancer ?

Pour conclure, Domino délivre quelques conseils pour se lancer dans l’aventure des QR codes augmentés GS1, en piochant dans toutes les fonctionnalités possibles pour ne garder que celles qui sont nécessaires et adaptées.
« La nouvelle norme GS1 pour les QR codes offre beaucoup de flexibilité et permet aux marques de les créer et de les utiliser en fonction de leurs besoins individuels. L’exigence minimale est qu’ils contiennent un GTIN pour pouvoir les utiliser sur le point de vente, avec la possibilité d’ajouter d’autres niveaux de précision si nécessaire. Plus les informations produits sont précises, plus elles offrent des avantages aux marques et aux consommateurs. Toutefois, l’ajout de données variables peut nécessiter un travail de mise en œuvre supplémentaire. Les marques doivent réfléchir à leurs objectifs en amont et s’assurer qu’elles intègrent la fonctionnalité dès le départ plutôt que d’essayer de modifier un système ultérieurement » résume Domino.
Ainsi, les marques qui souhaitent utiliser des QR codes statiques n’auront peut-être besoin que de mettre à jour la maquette de l’emballage et la page d’accueil à relier au nouveau code imprimé, tandis que celles qui souhaitent bénéficier d’autres atouts en incluant des données variables dans les QR codes devront créer un plan de mise en œuvre et discuter avec leurs fournisseurs et partenaires pour définir les exigences et créer du contenu.
Mais quoi qu’il en soit, ces marques devront également « veiller à ce que leurs lignes de production soient équipées de matériel d’impression de données variables à grande vitesse et de systèmes de vision automatisée afin de s’assurer que les codes peuvent être scannés et que toutes les informations sont correctes ».
Et pour cela, Domino est évidemment disposé à les accompagner…

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